| | | Anita •• La rose est dotées d'épines, ne l'oublie pas... |  |
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Anita Poulin
Anita • even the most beautiful roses have thorns...
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| | Sujet: Anita •• La rose est dotées d'épines, ne l'oublie pas... Dim 29 Mar - 14:23 | |
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© Woody Pepper. | « Aussi superbe sois la rose, il ne faut pas oublier qu'elle possède des épines ; fais attention à ne pas te piquer dans un moment d'innatention, où tu le regretteras. » |
Anita Léontine Poulin.« Un artiste, c’est une personne qui sait que la vie n’est qu’un spectacle. »Premier verre d’absinthe.
On commence à discuter, et puis … Faites se présenter votre personnage en quelques mots. Ainsi, vous pourrez faire ressortir ses principaux traits de caractère, tout en déclinant son identité. Il faudra qu’il donne son nom, son prénom, son âge (pas moins de vingt ans, s'il vous plaît), sa date et son lieu de naissance, son orientation sexuelle, la raison de sa présence à « La fée verte », et toute autre chose qui vous semble essentielle. « Observez-moi, regardez mon corps. Mes proportions divinement parfaites, mes formes, mon visage pareil à celui d'un ange, mes cheveux d'un blond doré, mon regard d'un bleu foncé, profond. La raison de ma présence à La Fée Verte est toute trouvée, et cela rien qu'en contemplant mon corps. Je ne suis pas là pour divertir les personnes âgés en jouant de l'acordéon, je ne suis pas là pour étaler sur ma toile des couleurs et des formes qui définiront le cabaret. Bien sûr que non, je suis là pour une autre activité, le devinez-vous ? Je suis une courtisane. Je danse au cabaret, légèrement vêtue, je danse autour des messieurs, d'âge plus ou moins murs, selon les soirs. Des hommes le plus souvent seuls ou entre amis ; je peux souvent deviner l'alliance de certains, et je les observe avec une expression dégoutée tandis qu'ils se rincent l'oeil. Je ne pourrais jamais changer cela, et les hommes mariés font partis intégrante du show, tandis que nous, les courtisanes, dansons près d'eux, de plus en plus proches, nos corps se déhanchant au rythme de la musique. Je préfère les jeunes, ceux qui ne sont pas mariés, qui ne sont pas en couple, et qui viennent ici dans l'espoir de repartir avec une charmante donzelle au bras. Je m'appelle Anita Léontine Poulin, je suis âgée de vingt-deux années, je suis née le douze février 1869 à Paris, et je suis une courtisane. Je divertis les messieurs, et parfois, je me retrouve à donner du plaisir à l'un d'entre eux dans ma petite loge, en échange d'une petite liasse de billet ; mais les billets ne sont pas toujours de mises, vous savez, et il arrive que je trouve, dans la salle de cabaret, un homme fort séduisant qui m'interresse grandement. Cependant, je n'ai jamais été une fille dite facile, mais plutôt une jeune femme dotée d'un fort caractère, qui ne se laisse jamais faire. Drôle, j'aimais divertir la gallerie, faire rire les autres de mes pitreries et de mes petites blagues ; j'étais aussi une femme arrogante, imperninente, insolente, hargneuse, et beaucoup disait derrière mon dos qu'il vallait mieux m'apprécier plutôt que de me détester ; j'avais beau être séduisante et fraicher comme une rose, il ne fallait pas oublier que la rose avait des épines qui pouvait piquer au moindre moment d'innatention. Jalouse, je l'étais ; il m'arrivait souvent de repérer dans le cabaret un jeune homme que je déclarais mon coup de coeur de la soirée, et je refusais alors qu'une autre courtisane s'en approche ; il était mien. Pour moi, le monde a toujours tourné autour de ma petite personne, et je ne me souciais que très peu des autres. Mes humeurs étaient changeantes, et malgré ma froideur au premier abord, j'étais une jeune femme tout ce qu'il y a de plus pétillante ; une courtisane quelque peu enfantine, et naïve, qui refusait souvent de voir le mauvais côté des choses, bien que je n'étais pas ignare. Comme la rose, je pouvais me montrer irritante si l'on se frottait trop à mes épines. Je restais cependant une grande romantique, et j'ai toujours cru en l'amour, malgré le fait que mon métier m'éloignait de cet amour, et me poussait à la débauche. Je suis pourtant restée très droite, ne buvant et ne fumant que très rarement, et ne couchant pas toujours avec le premier inconnu, même si c'était parfois le cas. On me disait comme curieuse et joueuse, une demoiselle maladroite, et extrèmement rancunière. Je m'appelle Anita Léontine Poulin, et je suis dotée d'un sacré caractère. » Second verre d’absinthe.
Cette boisson, elle vous délie la langue, c’est fou. Dans cette partie, votre personnage racontera un élément marquant de sa vie à la première personne. Ainsi, encore une fois, il pourra porter un regard plus ou moins distant sur son passé. Vous pouvez donc vous attarder sur certains éléments, passer sur d’autre … Ce qui compte, c’est qu’après avoir lu cela, on en sache un peu plus sur votre personnage. « Treize ans, le bel âge, si vous voulez mon avis. De toute manière, vous aurez mon avis, car c'est moi, Anita Léontine Poulin, qui raconte une période de ma vie dans ce paragraphe. Oui, j'étais âgée de treize années, un bel âge, ou les enfants n'ont à se soucier de rien, pas de responsabilités d'adultes, pas de problèmes d'adolescents, il ne reste que la jeunesse, rien que la jeunesse. Je dois dire que j'ai particulièrement apprécié ma jeunesse ; beaucoup de liberté, une famille aimante et cultivée, je ne demandais rien de plus. L'histoire que je vais vous compter est un fait réel tiré de ma propre vie d'enfant. Il était une fois Anita Léontine Poulin, âgée de treize petites années, un soir d'avril, le vingt-sept avril précisemment. Le soleil se couchait sur notre petite ville, et ma mère m'avait passé une très jolie robe du dimanche que l'on réservait aux petites filles de mon genre, des petites filles de classe aisée. J'étais une très belle enfant, et l'on me choyait constamment, à mon plus grand bohneur. Aujourd'hui n'était pas un jour comme les autres, c'était le quarantième anniversaire de ma tante Suzanne, soeur de ma mère, Madeleine. J'avais toujours beaucoup aimé ma tante Suzanne ; étant veuve, son mari étant mort très jeune, et n'ayant jamais eu d'enfants, elle passait la plupart de son temps dans notre petite maison, et me considèrait comme un petit ange tombé du ciel, comme la petite fille dont elle avait toujours rêvée mais qu'elle n'avait jamais eu. A chaque anniversaire, que ce soit le mien, celui de mes parents ou celui de ma tante Suzanne, nous sortions et je passais ma petite robe du dimanche que je trouvais absolument ravissante, avec sa dentelle et ses froufrous blancs et roses. Aujourd'hui, je ne m'habillerais plus comme cela, mais enfant, cette tenue était ma préférée. A présent, je serais plus la jeune femme habillée d'une robe particulièrement moulante de mousseline. Cette année, j'allais pour la première fois passer les portes d'un cabaret, chose qui m'avait toujours été interdite. Mais pour célébrer le quarantième anniversaire de ma tante, on faisait dans la nouveauté, pour changer des classiques soirées au restaurant chic. Je ne connaissais pas l'ambiance du cabaret, je ne savais pas ce que l'on y voyait, et je dois dire que j'étais toute excitée à l'idée de pénétrer dans ce lieu. Mes parents avaient une table très proche de la scène, et j'étais des plus préssées que le spectacle commence, si bien que je me souviens de moi sautant, courant presque dans la petite rue pavée que l'on empruntait pour se rendre au cabaret.
« Sommes-nous bientôt arrivés, maman ? »
« Mais oui, Anita, ne t'en fait pas. Cesse de courir, s'il te plait. »
« Pourrais-t-on se dépêcher ? Je suis préssée d'arriver ! »
Ma mère n'aimait pas que je courre sur le pavée ; peut-être avait-elle peur que je tombe et que je me fasse mal, ou que je froisse et salisse mes beaux vêtements. J'étais une enfant impatiente, et je n'aimais pas que l'on me contredise. Ma mère levait les yeux au ciel, exaspérée par mes remarques, mais je me calmais tout de même. L'entrée du cabaret s'apercevait de loin, et les néons de couleur accrochés à la porte m'avaient émerveillés. Les tons éclatants de bleu et de rose représentaient des personnes dansants, et le nom du cabaret était inscrit en grosse lettre de néon blanc. Nous avions passé la porte après quelques minutes de queue, parmis d'autres personnes bien habillées, tout comme nous. Mes parents avaient donné la réservation au nom de Poulin, et on nous avait conduit à une table, pendant que j'observais, époustouflée, la décoration de la salle. Jamais je n'avais vu une salle aussi superbement bien décorée. Tout était de rouge et de noir. La scène était surelévée par rapport aux tables, et était encore vide pour l'instant. Aux murs, des affiches montrant des danseuses de cabaret peu vêtues et des peintures dans les tons rouges, noirs et blancs ; des chandeliers peints de rouges diffusaient une lumière tamisée. Les tables rondes étaient disposées dans toute la salle, et les passages entre chaque table étaient suffisamment grand pour que les serveuses et danseuses puissent passer. Chaque table de bois était recouverte d'une longue nappe de velour noir ; au centre de la table, une longue bougie éclairait les assiettes de porcelaine blanche et les couverts dorés ; deux vases contenant un bouquet de roses d'un rouge intense étaient disposés de chaque côté de la bougie d'une couleur dorée. Des pétales de roses rouges et noirs étaient parsemés sur la table. Les chaises étaient anciennes, en bois et recouvertes de velour rouge. Tout était splendide, et je m'installais à la table béate d'admiration. Tout était si magnifique ! Aujourd'hui encore, je ne me lasse pas de ce décor somptueux. Nous avons commandé notre repas, car dans ce cabarat, les convives mangeaient tout en observant un spectacle fait de danse et de chant.
« Que souhaites-tu manger, Anita ? »
« Un blanc de poulet et son accompagnent de légumes, maman. »
Si la nourriture était aussi exquise que les titres le laissait paraitre, je serais vraiment satisfaite de cette soirée. A la maison, nous mangions bien, certes, mais je n'avais pas droit à mon blanc de poulet et ses petits légumes tous les soirs. Je dois dire que la nourriture du cabaret est excellente ; j'y avais goûté pour la première fois lors de cette soirée d'anniversaire, et je l'ai de nouveau goûtée à plusieurs reprises, dans des soirées ultérieures. A chaque fois, je retrouvais le même plaisir en observant le spectacle et en mangeant la nourriture. Cette soirée d'anniversaire a vraiment éveillé en moi une passion pour le cabaret ; j'adorais cette endroit, la Fée Verte ; je m'y sentais comme chez moi. La nourriture fut apportée, et le spectacle du cabaret commença. J'observais avec avidité les danseuses. Habillées de petites tenues pour certaines, de longues robes de mousselines pour d'autres, elles savaient s'y prendre pour faire le show. Ces jeunes femmes avaient des courbes voluptueuses, et étaient fabuleusement belles ; elles plaisaient aux hommes qui les regardaient danser, la langue pendante, les yeux fous. A mon jeune âge de treize ans, je ne savais pas encore ce qu'était le sexe, je ne savais pas où menait tous ces déhanchements coquins. Aujourd'hui, à vingt-deux ans, j'ai compris, et je sais, je connais les coulisses de ce monde du cabaret. A treize ans, j'étais juste émerveillée par les beautés des costumes et la grâce, le talent de ces jeunes femmes pour la danse. Elles se déhanchaient toutes en rythme de la musique, un petit sourire en coin sur leurs lèvres ; elles descendaient de la scène et s'approchaient du public, passaient entre les rangs, jouaient avec les ardeurs des hommes. Ces courtisanes, ces danseuses se déhanchaient tout près des messieurs, qui roulaient des yeux fous, ébahis et flattés que l'on s'interresse à eux d'aussi près, leur égo gonflé à bloc tandis qu'une jeune femme, les seins presque à l'air, se collait presque à un homme ayant déjà passé la cinquantaine. Ces courtisanes déchainaient les passions des hommes et agacaient les épouses, qui observaient du coin de l'oeil leur mari bavant devant une jeunette. Au cours de ce spectacle qui avait paru durer une seconde à mes yeux, tant j'étais impressionnée devant les danseuses, j'avais cru apercevoir le visage de mon père, tout excité, tandis qu'une danseuse lui frolait le torse d'une main. Le spectacle m'avait tellement plu, je me projettais dans l'avenir, dansant moi aussi devant ces messieurs, déchainant leur passion. Je m'imaginais quelques années plus tard, les hommes bavant d'envie devant mon corps, je m'imaginais quitter la salle en lançant des regards coquins.
« Je veux devenir l'une d'entre elles. »
C'est tout naturellement que j'avais prononcé cette phrase, émerveillée, à la fin du spectacle. Les courtisanes se retiraient dans leur loge, tandis que certains messieurs étaient invités à disparaitre derrière la scène pour continuer la soirée dans un endroit plus intime. Ma mère m'avait regardé, légèrement outrée, tout comme ma tante. Mon père, quant à lui, avait paru satisfait de ce projet d'avenir, déclarant que j'avais le corps et le physique parfait pour être une danseuse de cabaret. Et quelques années plus tard... vous connaissez la suite. »
Dernière édition par Anita Poulin le Dim 29 Mar - 18:30, édité 11 fois | |
| | | | Elliot Desmond
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| | Sujet: Re: Anita •• La rose est dotées d'épines, ne l'oublie pas... Dim 29 Mar - 14:50 | |
| Bienvenue !
En effet, Mlle Stewart a été réservée ... Désolée ! | |
| | | | Anita Poulin
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| | Sujet: Re: Anita •• La rose est dotées d'épines, ne l'oublie pas... Dim 29 Mar - 15:08 | |
| Il n'y a aucun problème la-dessus, je vais changer =D | |
| | | | Anita Poulin
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| | Sujet: Re: Anita •• La rose est dotées d'épines, ne l'oublie pas... Dim 29 Mar - 18:12 | |
| Troisième verre d’absinthe.
Tout est tellement … fantastique ! Tout le monde a ses petites manies. Inscrit ici cinq détails qui caractérisent ton personnage : phobie, tic, etc. N'hésitez pas à étoffer chaque point, cela ne peut qu'être bénéfique. - Anita aime les hommes, c'est un fait. Elle n'est cependant pas une fille facile, et bien qu'elle soit une courtisane, elle ne finit pas toujours ses soirées avec un homme différent. Généralement, c'est elle qui choisit son homme, mais il peut lui arriver de le faire si une petite liasse de billet entre en jeu. Elle refuse pourtant d'être appelée « prostituée à ses heures ».
- Anita est une incroyable jalouse ; il peut lui arriver de repérer des hommes dans la salle de cabaret qu'elle trouve particulièrement attirants. Elle devient alors très possessives avec ces hommes, refusant que d'autres danseuses s'en approche. Ils sont siens.
- Ces derniers temps, Anita a remarqué un jeune homme qu'elle trouve tout simplement magnifique, et qui passe son temps à la regarder. Elle est très attirée par lui, mais attend qu'il vienne lui parler. Pourtant, tous les soirs, il est là, installé à la même table, à la regarder toujours avec ce même air... mais il ne dit rien.
- Anita est une inconditionnelle fan de vêtements. Elle raffole et veut toujours plus de vêtements. Sa garde-robe est immense, et il lui est déjà arrivé de faire des caprices pour que le cabaret lui achète encore et toujours plus des tenues de scènes.
- Anita a une peur bleue du viol. Elle sait qu'en temps que courtisane elle joue et « offre son corps » à des hommes inconnus, mais c'est toujours elle qui doit avoir les commandes. Si l'homme commence à prendre des iniatives contre son gré, elle dérape, se met à hurler et peut devenir très violente. Elle a une fois tappé un homme qui voulait coucher avec elle sans sa permission après un spectacle et elle s'est retrouvée au commisariat. Quatrième verre d’absinthe.
Je vois des feux d'artifice partout. Avatar : Sienna Miller  Groupe : Courtisanes. Code règlement : Validé  Cinquième verre d’absinthe.
La fée m'a transformé(e). Chers concitoyens, bonjour...  *se racle la gorge* Je m'appelle Amélie, plus souvent surnommée Engel sur les forums, je suis âgée de quatorze bananes et d'une demi-orange (comprenez que j'ai quartorze ans et demi -->), et je suis une folle des forums RPG ; je suis d'ailleurs tombée amoureuse de ce forum (eh ouais, eh ouais  ) et voilà  | |
| | | | Roxanne Baudelaire
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| | Sujet: Re: Anita •• La rose est dotées d'épines, ne l'oublie pas... Dim 29 Mar - 18:13 | |
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| | | | Anita Poulin
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| | Sujet: Re: Anita •• La rose est dotées d'épines, ne l'oublie pas... Dim 29 Mar - 18:26 | |
| Reste à attendre que Anita B. ait fini sa fiche, et Elliott devra faire son choix x) | |
| | | | Mathilde Dalenne
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| | Sujet: Re: Anita •• La rose est dotées d'épines, ne l'oublie pas... Lun 30 Mar - 19:50 | |
| Bravo pour le rôle, tu es donc validée^^
Bon jeu! | |
| | | | Anita Poulin
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| | Sujet: Re: Anita •• La rose est dotées d'épines, ne l'oublie pas... | |
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| | | | | | Anita •• La rose est dotées d'épines, ne l'oublie pas... | |
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