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| églantine • regarde, regarde-dont comme tu me veux. { 100 % | |
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Eglantine de Favres
Crédits : Me, myself and i. Messages : 30 Age : 31 Coup de coeur : Dance, Dance. Humeur : Fantaisiste. Nationalité : Française.
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| Sujet: églantine • regarde, regarde-dont comme tu me veux. { 100 % Mer 1 Avr - 23:15 | |
| © phebee | « La jeunesse est une ivresse continuelle ; c'est la fièvre de la santé, c'est la folie de la raison. » - La Rochefoucauld. |
Eglantine de Favres« Un artiste, c’est une personne qui sait que la vie n’est qu’un spectacle. » Premier verre d’absinthe. On commence à discuter, et puis … « Et quelle bonne explication pourrais-je vous donner, s'il-vous-plait ? Je reste libre. Quoi qu'il arrive. Mais je vous prie de me pardonner, j'ai oublié de me présenter. Mon nom, plus explicitement mon prénom ne sera pas s'en vous rappeller la nature, le printemps, les petites fleurs. Eglantine. Doux prénom m'ont dit certains, un peu piquant, disent d'autres. C'est a peine l'équilibre qu'il faut. Douce et piquante. Comme ses délicieuses petites tomates de maraicher. Lorsqu'on croque, la saveur est sucrée, douce : puis vient l'intérieur, acide sur la langue. Un délice, ne croyez vous pas ? Quant à mon nom, il n'est pas bien singulier. De Favres, dans toute sa simplicité... La simplicité d'un nom noble, cependant. Pardon ? Vous vous demandez ce qu'une noble fabrique à la Féé Verte ? La réponse est simple. Mon nom ne veut rien dire. Il ne que l'héritage de riches fermiers annoblis il y a des siècles de cela pour une histoire de pot de vins. Mais qu'importe. Je suis d'une jeunesse inconstestable. J'aime ma jeunesse, je l'aime tellement. Elle me chérit et m'offre des choses formidables. Cette jeunesse, c'est ma vie et mon gagne pain, et j'en profite tant qu'on me l'offre encore. On ne demande pas son âge à une dame, le saviez vous ? Vous devriez. Mais nous sommes entre amis. Les amis n'ont pas de secret. Je viens d'avoir 23 ans et je les porte bien, me semble-t-il. Vous me trouvez jeune ? Attendez de savoir à quel âge j'ai échoué ici. Eh bien donc, il y a maintenant 23 ans de cela, je naquis à Brest, en Bretagne. Oui, oui, en Bretagne. Plus précisément, le 24 février 1868. Dans ma tête, cela remonte à si longtemps... ! Rendez vous compte, vingt-trois ans d'existence. Une existence longue et parsemée d'embûches. Une histoire que je vous conterais volontier, un de ces jours. Mais au dela de mon histoire, je me dois d'expliquer ma présence ici, dans un tel endroit. Le Fée Verte est ma maison, mon chez moi, ma seconde famille. Non, ma seule famille. J'aime ce que je fais, j'aime ce que je suis, j'aime la vie. Ma vie. Comprenez vous qu'ici est mon seul refuge ? »Second verre d’absinthe. Cette boisson, elle vous délie la langue, c’est fou. « J'ai comme l'impression que ce fut il y a des siècles de cela. Et pourtant, c'était il y a seulement six petites années. En théorie, six ans, c'est assez rapide, n'est ce pas ? Surtout lorsqu'on est jeune comme moi, et que le temps file sans que l'on s'en rende compte. Vous ne saisissez rien ? Voila qui est logique. Laissez moi replacer les choses dans son contexte. J'avais 7 ans lorsque mes parents moururent. Un accident. Un terrible accident de calèche. Une chute dans un ravin. Et puis la mort... C'était la nourrice qui me gardait. Je me dormait paisiblement lorsque mes parents rendirent l'âme au fond du ravin. J'étais devenue orpheline. Ils étaient si jeunes, à peine 30 ans... Laissée à moi même, j'appris quelques jours après que ma jeune tante, la soeur cadette de ma mère, allait me prendre sous sa charge. Elle était ma seule famille restante. J'étais tellement petite et innocente, que je ne comprenais pas tellement. Ma tante avait 26 ans. Mariée depuis quelques années seulement, elle était sans enfant. Son mari, notaire, exerçait en province tandit qu'elle vivait sa vie à Paris, la capitale. Plus jeune, ma mère me racontait souvent des histoires sur la capitale. Elle me contait son prestige, ses belles avenues, ses palais, ses ponts sur la Seine. Paris me semblait être le paradis sur Terre. Une après-midi, ma tante Solange vint donc me chercher. Je la trouvais belle, avec ses cheveux chatains et bouclés. Mais elle était trop jeune. Beaucoup trop jeune pour élever une petite fille. J'échouais dans un grand appartement du 8ème, et je passais la plupart de mon temps seule. Ma tante se désinterressait de moi, et préférait d'autres compagnies. Souvent, je me demandais si parmis les hommes qu'elle recevait parfois, il y avait son mari à elle. Plusieurs dormaient à la maison. Je ne comprenais pas tout, mais je m'appliquais pour être la meilleure petite fille possible. A ce moment, je m'accrochais tellement à l'idée qu'un jour, elle m'aimerait, moi. Que je deviendrais sa petite fille. Mais ma tante n'aimait pas les enfants. Elle ne voulait pas d'enfant, elle n'en avait jamais voulu. Nos désirs n'étaient pas compatibles et je souffrais. En rentrant dans l'adolescence, alors que j'étais la plus sage enfant de la planète, je compris enfant à quoi rimaient les visites de courtoisie de tous ces messieurs. Je ne me souviens plus très exactement qu'est ce qui me fit le comprendre, mais je le saisis un jour, comme ça. Comme une evidence que j'avais toujours sue, au fond. Toutefois, lorsque je compris, je fus écoeurée. Au départ. Ma tante m'apparue comme une abomination. Je me souviens parfaitement que j'allais prier pour elle. Que j'étais riddicule, à cette époque. Mais au moins, je croyais en quelque chose. J'avais la foi et au fond, peut être étais-je plus heureuse alors. Mais il faut savoir que le bonheur ne dure pas bien longtemps et ainsi, tout s'écroula sans prévenir. A l'approche de mes 17 ans, j'étais devenue une belle jeune fille, sage, intelligente, éduquée, et je remarquais que ma tante avait depuis quelques temps un comportement étrange. Elle était méfiante, sur ses gardes, mystérieuse. Sans m'inquiéter, mais curieuse de savoir tout de même, je laissais le temps passer, me disant que je saurais en temps venu. J'étais d'une patience infinie...quand j'y pense. Grâce à Dieu, le temps venu arriva très vite. Grâce ? Peut être pas. Quelques jours après avoir fêté mes 17 ans, ma tante m'annonça notre sortie. Je restais muette. Sortie ? "Ta première sortie mondaine, ma très chère". Sortie mondaine ? Les mots demeuraient interdits dans ma tête. Moi, dans le monde ? Je n'étais jamais sortie. A mon age, les autres jeunes filles fréquentaient les bals, cafés, opéras avec assiduité. Moi, jamais. Et cela ne m'avait pas manqué... Je n'étais pas prête. Mais je n'avais guère le choix. Ma tante m'enfila une robe, une très belle robe, de dame, et m'emmena au théatre. Je restais muette ; tout était tellement trop. Je sortais, voyais les rues de Paris de nuit, découvrait un tout autre monde, celui de la nuit, le monde Mondain. C'était fascinant. Au théatre, un grand endroit brillant et rempli de monde, nous montâmmes dans une loge. Je savais de par mon éducation que les loges étaient un grand privilège. Ma tante me fit assoir à coté d'un gros monsieur, d'environ son âge. J'obéis sans discuter, pensait que c'était surement un de ses énièmes amants. La représentation débuta. Du haut de mes dix-sept ans, j'étais fascinée par le spectacle. C'était une tragédie, de Racine. J'avais beaucoup lut de Racine. Alors que les vers glissaient sur mes lèvres, je sentis une main chaude se poser sur mon genou. Sans rien comprendre, je baissais les yeux pour voir le gros homme remontant doucement sa main. Là encore, rien ne me vint. Je restais muette. Puis, j'essayais de m'en défaire. Mais dès que je m'agitais, il resserrait son emprise pour me broyer la cuisse. Je n'eus pas le loisir de me défendre. Rentrée à la maison, je m'apprêtais, choquée, à en informer ma tante. Cependant celle ci me devança en m'apprenant que j'alllais me marier. Surprise, oubliant mes tracas, j'imaginais un jeune officier de 20 ans, beau et doux. Ma tante m'annonça alors mon voisin de siège. Un riche banquier. 35 ans, divorcé. La terreur fut la plus intense de toute ma vie. Je revis son gros visage rouge, ses yeux porcins. Une nausée m'envahit. Je passais les 10 jours suivants enfermée dans ma chambre à coucher, pleurant toutes les larmes de mon corps. Et puis, je dus sortir pour me marier. Je priais, priais, implorait ma tante pour me sauver. Elle me disait que je deviendrais riche, que Paris serait à moi, que je serais une grande dame. Le jour du mariage, il plut. Je m'en souviens parfaitement, car il plut des cordes. La cérémonie fut donc très brève et, à mon désespoir le plus profond, je rentrais vite dans mon nouveau foyer, avec mon nouveau mari. J'étais trempée, jeune, trop jeune, terrorisée. L'appartement était immense et très luxueux. Mais je m'en fichais. Je n'avais plus qu'un désir : m'enfuir. Mon mari m'ordonna d'ôter mes vêtements. Je protestais, refusais ; il s'approcha, menaçant. Il m'a frappée. J'ai pleuré. Puis j'ai crié. Il a re-frappé, plus fort. J'ai ôté mes vêtements. Sans que je sache pourquoi, il s'est remis à frapper. Puis il m'a jetée sur le lit. Et puis... Ce fut la nuit la plus traumatisante de ma vie. J'avais mal, mal partout. Je voulus mourir. Au milieu de la nuit, alors que mon mari ronflait fort, j'enfilais ma robe et me sauvais. Je me sauvais dans les rues de Paris, et courais, courais, courais. Sans m'arrêter. J'arrivais au pont Louis Philippe. J'étais nu-pieds, et j'avais mal. J'étais écorchée. Vive. Je me roulais en boule sous le pont et décidais de mourir là.... Je faillis. Mais le saint esprit décida de me laisser en vie et je m'éveillais le lendemain. J'avais froid, vraiment très froid, et vraiment très faim. Comme une pauvre âme perdue, je errais alors dans les rues de la capitale, à la recherche de nourriture. Evidemment, je n'avais eut le temps ni la possibilité d'emporter aucune affaire et l'idée même que mon mari me cherchait peut être vers la maison était insupportable. Je marchais ainsi, m'arretant pour boire à des fontaines publiques par moments. Certains me prenaient pour une mendiante, ils me jetaient des regards soupçonneux ou ecoeurés. Je poursuivais mon chemin, ne pensant plus qu'a une chose : mourir le plus vite possible. Plus personne ne pouvait plus m'aider. Une journée passa encore comme cela. Le lendemain au soir, je n'avais toujours rien avalé. Je n'avais pratiquement plus la force d'avancer. Un pont se profilait sur mon chemin... J'allais sauter. Je m'approchais de la rembarde pour sauter lorsque des pas me parvinrent. Deux mains s'accrochèrent à mes bras pâles et affaiblis pour me tirer en arrière. Les yeux à demi ouverts, je percevais le parfum d'une femme au dessus de moi. C'était une très belle femme, plutôt jeune. Je la sentis, avec l'aide d'une autre personne, me trainer jusque dans une voiture. Et puis je sombrais... Lorsque je m'éveillais, j'étais allongée sur une banquette de velour rouge, emmitouflée dans une chaude couverture. J'ouvrais doucement les yeux, comme sortante d'un long cauchemard. Tout fut flou au départ, et puis, je perçu une grande dame, discutant avec un petit homme à lunette qui ressemblait fortement à un médecin. Prise d'un violent mal de tête, je poussais un gémissement. Aussitôt, la femme se tourna et s'approcha de moi... Visiblement inquiète. Je lui demandais des explications sur le champ. La femme m'expliqua alors où j'étais. Un endroit nommé la Fée Verte. Un cabaret... J'avais entendu parler de ce genre d'endroits. Des lieux de spectacle fort peu respectables. Des lieux ou les femmes étaient libres, voir trop libres, et se donnaient au hommes, les charmaient en dansant, jouant, chantant. Etrangement, je ne fus pas effrayée. Cet endroit chaud, fermé, aux couleurs sombres et chaleureuses me rassurait. Je m'y sentais déja bien. Après avoir mangé quelque peu, je lui expliquais ma situation. Elle proposa de me ramener sur le champ chez ma tante... Alarmée, affollée, je la supplia de me laisser rester. Je lui disais que je pourrais travailler, me rendre utile. Dubitative, elle partit alors parler au "patron" de moi. Celui ci accepta finalement de me garder et je commençais comme serveuse. Longtemps, j'observais celles qu'on appellait les "courtisanes", que j'admirais, faire leur travail. Le respect qu'on leur prodiguait me fascinait. J'avais envie de devenir une de ces filles, admirées et craintes. M'entrainant, je finis par faire mes preuves et le patron accepta de monter mon grade. Je devins donc courtisane à la Fée Verte. C'était il y a 4 ans ... »
Dernière édition par Eglantine de Favres le Mer 8 Avr - 21:57, édité 12 fois | |
| | | Eglantine de Favres
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| Sujet: Re: églantine • regarde, regarde-dont comme tu me veux. { 100 % Mer 1 Avr - 23:20 | |
| Troisième verre d’absinthe. Tout est tellement … fantastique ! - Les pralines. Riez si vous le voulez, mais une des grandes passion de la jeune Eglantine et le sucre. Ce qui est sucré. Tout ce qui est sucré, très sucré. Les gateaux, les crèmes, les douceurs, la belle ne se nourrit que de cela ou presque. Et pourtant, elle possède une ligne assez svelte, ce qui est plutôt contradictoire. Comment fait-elle pour rester aussi mince en avalant autant de sucre par jour... elle bouge bien, dira-t-on. - La danse. La danse, c'est la spécialité de la jeune femme à la Fée Verte. Depuis toute petite, elle a toujours adoré la danse et elle la pratique très bien. Elle a fait de longues années de danse classique, et puis, à la Fée Verte, elle a parfait son éducation artistiques en apprenant des danses plus "séductives" comme le tango, la salsa, ou... le french-cancan. Désormais, elle est une des meilleures danseuses du cabaret et c'est l'une de ses principales armes de séduction. - Les vêtements. Voila donc en quoi passe la paye de la jeune femme. En vérité, Eglantine n'est pas énormément payée pour son rôle de courtisane. Mais l'argent qu'elle gagne ne lui sert à rien d'autre qu'a son plaisir personnel, puisqu'elle vit à la Fée Verte. Ainsi, elle aime dépenser ses sous en beaux tissus, en robes travaillées, en chaussures de cuir et en chapeaux de soie. Elle adoooore la soie, et les couleurs, également. Eglantine n'est pas du genre à s'enrouler dans de tristes robes noires. Elle aime ce qui éclate, ce qui accroche le regard, le rose, le bleu, le orange. Elle aime donner de la joie dans ses tenues. - Le tabac Le tabac. Substance quasi magique qui offre à Eglantine une satifaction muette, un sentiment de puissance. Avec l'absinthe, boisson quasi obligatoire au cabaret, le tabac et le seul vice réel de la jolie blonde. Elle fume sans arrêt, à toute heure, du jour ou de la nuit. C'est une véritable addiction et elle en a besoin chaque jour. C'est dans les volutes de la fumée qu'elle se sent pleinement à son aise... - L'Hypocondrie. Le rapport avec le reste ? Ne cherchez pas, il n'y en a pas. Mais depuis quelques années, Eglantine a développé cet étrange symptôme, celui de l'hypocondrie. Il se manifeste par le fait que la jeune fille est tout le temps certaines d'avoir les bronches brouillées, la gorge brulante... Elle est sans arrêt persuadée qu'elle a de la fièvre ou qu'elle va se casser une cheville en dansant. Cela la handicape parfois. Mais dans un sens, cela lui donne un avantage : avec cette parano de la maladie, Eglantine est certaine, chaque soir avant de se coucher, qu'elle va mourir le lendemain. Ainsi, elle arrive à oublier tout et à simplement s'amuser, comme si chaque jour était le dernier qu'elle vivait... Quatrième verre d’absinthe. Je vois des feux d'artifice partout. Avatar : La délicieuse Kirsten Dunst (a) Groupe : Hum.. Courtisanes ? Bien entendu. Code règlement : french-cancan Cinquième verre d’absinthe. La fée m'a transformé(e). Bon, ça ira vite, je ne porte pas de chaussettes xD' Ok ok, stop. Je me concentre sur mon but principal : parler de moi. Bon, alors, moi. Ouais. C'est marrant parce que "ouais" est vraiment le premier mot qui me vient à l'esprit quand je dois parler de moi. "Ouais", quoi. Dooonc. Mon petit nom, c'est Louise. Beaucoup de monde m'appelle Lou, ou alors, sur le web, c'est plus des trucs comme Sunny ou Jelly Skies'. Voila, donc appellez moi comme vous voulez, au choix. J'ai 16 belles années entamées (oui parce que ma seizième est loin d'être révolue) et je kiffe mon âge. Quoi, c'est la belle vie, d'avoir 16 ans. Je suis une petite française, quoi que j'aurais a-do-ré venir d'un autre pays comme euh, je sais pas, au choix... Le Canada ? Ouaais (a). D'ailleurs, c'est inintéressant pour vous mais je compte aller faire une partie des mes études à Vancouver. C'est dit ! Ensuite. Ce forum là, je n'y suis pas arrivée par hasard. C'est Mariko, une des admins, qui m'avait parlé de ce projet sur msn une fois. Je me souviens très très bien ma réaction : YATTAAAAAAAAAA. J'ai tout de suite adoré l'idée. Et puis, je peux y jouer ma Kirsten. N'est ce pas que la vie est belle ?
Dernière édition par Eglantine de Favres le Mer 8 Avr - 21:57, édité 3 fois | |
| | | Mathilde Dalenne FANTASTICADMIN A crown for clowns.
Crédits : Maquizz Messages : 227 Age : 30 Coup de coeur : Absinthe Humeur : Discrète Nationalité : Française
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| | | | Eglantine de Favres
Crédits : Me, myself and i. Messages : 30 Age : 31 Coup de coeur : Dance, Dance. Humeur : Fantaisiste. Nationalité : Française.
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| Sujet: Re: églantine • regarde, regarde-dont comme tu me veux. { 100 % Ven 3 Avr - 19:37 | |
| Merciiii (a) Oui, en fait, c'est moi qui ait demandé à Mariko de me la réserver sur msn... Enfin, normalement. | |
| | | Mathilde Dalenne FANTASTICADMIN A crown for clowns.
Crédits : Maquizz Messages : 227 Age : 30 Coup de coeur : Absinthe Humeur : Discrète Nationalité : Française
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| Sujet: Re: églantine • regarde, regarde-dont comme tu me veux. { 100 % Ven 3 Avr - 19:46 | |
| Nan y a pas de prob mais comme t'avais pas encore mis ton pseudo et que Mariko est pas là ... Brefouille, bon courage pour ta fiche en tout cas =) | |
| | | Roxanne Baudelaire
Crédits : © Sulky & FoX Messages : 53 Age : 30 Nationalité : Française
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| Sujet: Re: églantine • regarde, regarde-dont comme tu me veux. { 100 % Ven 3 Avr - 21:01 | |
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| | | Valentina Luiz FANTASTICADMIN A crown for clowns.
Crédits : Moi-même (a) Messages : 465 Age : 30 Coup de coeur : La scène ! Humeur : Insupportable ... Nationalité : Espagnole
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| Sujet: Re: églantine • regarde, regarde-dont comme tu me veux. { 100 % Sam 4 Avr - 14:57 | |
| Oui, c'est bien à toi que l'avatar était réservé (a) BIENVENUE | |
| | | Eglantine de Favres
Crédits : Me, myself and i. Messages : 30 Age : 31 Coup de coeur : Dance, Dance. Humeur : Fantaisiste. Nationalité : Française.
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| | | | Roxanne Baudelaire
Crédits : © Sulky & FoX Messages : 53 Age : 30 Nationalité : Française
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| Sujet: Re: églantine • regarde, regarde-dont comme tu me veux. { 100 % Dim 5 Avr - 21:57 | |
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| | | Eglantine de Favres
Crédits : Me, myself and i. Messages : 30 Age : 31 Coup de coeur : Dance, Dance. Humeur : Fantaisiste. Nationalité : Française.
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| Sujet: Re: églantine • regarde, regarde-dont comme tu me veux. { 100 % Dim 5 Avr - 22:12 | |
| Mdrrr. Tu venais de me le dire, mais merci quand même (a) | |
| | | Roxanne Baudelaire
Crédits : © Sulky & FoX Messages : 53 Age : 30 Nationalité : Française
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| Sujet: Re: églantine • regarde, regarde-dont comme tu me veux. { 100 % Dim 5 Avr - 22:14 | |
| Hum... Ah oui désolée... Je suis un peu fatiguée c'est pour ça | |
| | | Eglantine de Favres
Crédits : Me, myself and i. Messages : 30 Age : 31 Coup de coeur : Dance, Dance. Humeur : Fantaisiste. Nationalité : Française.
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| Sujet: Re: églantine • regarde, regarde-dont comme tu me veux. { 100 % Dim 5 Avr - 22:27 | |
| Bah, t'inquiète je comprend parfaitement. Ca arrive à tout le monde après tout (: | |
| | | Eglantine de Favres
Crédits : Me, myself and i. Messages : 30 Age : 31 Coup de coeur : Dance, Dance. Humeur : Fantaisiste. Nationalité : Française.
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| Sujet: Re: églantine • regarde, regarde-dont comme tu me veux. { 100 % Mer 8 Avr - 21:58 | |
| Je commence par m'excuser de cet affreux tout moche double poste, mais, mes très chers ... Je crois fortement avoir terminé ma présentation (a) | |
| | | Valentina Luiz FANTASTICADMIN A crown for clowns.
Crédits : Moi-même (a) Messages : 465 Age : 30 Coup de coeur : La scène ! Humeur : Insupportable ... Nationalité : Espagnole
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| Sujet: Re: églantine • regarde, regarde-dont comme tu me veux. { 100 % Jeu 9 Avr - 19:00 | |
| OUI Ca faisait longtemps que j'avais pas validé quelqu'un | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: églantine • regarde, regarde-dont comme tu me veux. { 100 % | |
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| | | | églantine • regarde, regarde-dont comme tu me veux. { 100 % | |
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