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 La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick

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Claire Hamon
Ambroise Stanwick
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Ambroise Stanwick
Un peu de chagrin prouve beaucoup d'amour, mais beaucoup de chagrin montre trop peu d'esprit.
Ambroise Stanwick


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MessageSujet: La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick   La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick EmptyDim 29 Mar - 21:04

La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick 119
Icone by Fae, citation by me
Tu devrais prendre un verre d'absinthe pour plonger dans l'oublie,
une souffrance perpétuelle,
qui envahie ta gorge telle une brulure insoutenable,
tel un flot de parole immoral.
A jamais éteint cet incendie, celui de ton coeur.

Ambroise Stanwick
« Un artiste, c’est une personne qui sait que la vie n’est qu’un spectacle. »


    Premier verre d’absinthe.
    On commence à discuter, et puis …


« Un jour, on m'a dit, « Ecrire, c'est hurler en silence ». Et, moi et bien qu'est-ce que je fais ? J'écris, j'écris pour déverser mon mal être, ou mon bonheur. J'écris pour que les gens soient heureux ou triste, pour qu'ils pleurent, ou rient. J'écris depuis que ma vie s'est brisée, depuis l'âge de 17 ans. A présent j'en ai 22. Pour continuer sur ma lancée, autant me présenter, je m'appelle Ambroise Stanwick, et je suis né un 2 mars, a Cambridge en Angleterre. Cette boisson délie vraiment la langue, mais je ne peux pas dire que ce soit désagréable, mais je dois faire attention, à mes propos, j'en viendrais presque à dévoiler ma bisexualité... Enfin qu'importe après tout, on a tous nos défauts, (si on peut considérer, mes penchants, comme un défaut), je peux ainsi vous parler, en toute simplicité, sans aucunes barrières, et vous dire que mon père, est un français, qui a rejoint l'Angleterre juste pour rejoindre sa bien aimée, ma mère. Romantique vous ne trouvez-pas ? Oui autant dire que mes grands-parents n'ont pas appréciés, que leur fille se mari avec un homme de la petite bourgeoisie... Mais la je m'égare, juste pour en venir, à mes origines, et oui je ne suis pas un français de purs souches, je suis à moitié anglais. Et si je suis revenu en France, c'est pour tourner la page sur mon passé. Je ne veux pas dire par là que je veux oublier mes parents, non au contraire, je les aimerais à tous jamais, ils m'ont donné tellement de bonheur, ils étaient là quand tous allé mal, mais... J'ai besoin de prendre l'air, d'oublier... Et mon chemin, et les aléas du destin, mon amené ici, dans ce cabaret, où je puise toute mon inspiration, et où enfin j'arrive à être quelques peu serein, le temps d'un écrit, le temps... d'un verre.»

    Second verre d’absinthe.
    Cette boisson, elle vous délie la langue, c’est fou.



    « Le vert, la couleur de l’absinthe,
    La couleur de l’oublie,
    Une couleur apaisante,
    Pour une boisson délivrante »


« Et mon regard se tourna vers les étoiles, embué par les larmes. Brisé par le chagrin, meurtri par la douleur, que ce corps glacé produisait en moi, je savais qu’à cet instant précis, j’étais à jamais devenu un autre. Comme sorti de mon enveloppe charnelle, je regardais la scène, avec incompréhension, comme si je n’étais pas la personne qui serrait un cadavre contre elle, en hurlant à la mort, comme si tout ça arrivait à un autre. J’étais dans un état second, comme lorsqu’on somnole, et qu’on fait un mauvais rêve, et enfin quand est arrivée l'heure du réveille, on ne sait pas vraiment si c’était la réalité, ou le monde de l’imaginaire. J’étais donc un autre, et j’étais, durant de longues minutes insoutenables, aussi vivant que celle que j’aimais, j’étais mort. Mort de chagrin parce que j’avais laissé l’être qui comptait le plus pour moi, mourir.
[…]
Un réveille en sursaut, encore un. Cela faisait maintenant un mois, que chaque soir, ou plutôt chaque matin, à la même heure, je me réveillais, en sursaut, trempé de sueur, haletant, le sang battant à mes tempes. Pétrifié par cette douleur, terrifié, par cette vision. Cette femme au visage si singulier, si fin, si pale… Aux longs cheveux blonds, ondulants dans le vent. Ce sourire, quel sourire. Emplie de joie, contrastant, avec son regard, suppliant, ce regard si prenant, où l’on pouvait lire tant de mal être. Je mettais une fois de plus relevé avec une vitesse impressionnante, droit dans mon lit, le regard fixant le mur, et ces questions martelant mon crane. Qui était-elle ? Pourquoi rêvais-je d’elle. Kelly. Je crois que c’était son nom. Elle ne parlait pas, mais en fond sonore, en plus de la mer, j’entendais une voix, lointaine, crier son nom pour l’appeler. La mer. Voilà où je la voyais, les reflets du soleil, faisant scintiller des milliers d'éclat de couleur sur sa peau, ses cheveux. Serait-elle un ange ? Un mauvais présage, ou une bénédiction ? Je l'ignore. Je me demande quand ce cauchemar cessera ? Pourquoi un cauchemar ? Tout simplement, parce que je vois la souffrance de cette jeune femme, à tel point qu'elle en meurt. Suicidée. Prise de divers médicaments, fabuleux cocktail, pour une mort rapide et sans douleur. Et ce surprenant changement de décore, ce n'est plus un soleil rayonnant, qui réchauffe ce visage emplit de tristesse, mais une lumière plus que tamisé, inspirant la douleur, et la crainte. Ce n'est plus cette magnifique plage, aux couleurs chatoyantes, mais un boudoir, aux murs capitonnés, de couleur verts émeraude. La jeune femme blonde n'a plus son regard tourné vers moi, mais plutôt vers cette boîte de comprimés, et elle la contemple. Longuement. La fait tourner, dans ses longs doigts de pianiste. Avant de la lâcher... Comme, elle a lâché sa vie... Comme elle s'est laissée mourir... Avant de la lâcher, par ce qu'elle est morte... Et moi je contemple cette scène, sans rien pouvoir faire, pris au piège, de ce rêve. Peut-être est-ce un appel au secoure ? J'en doute. Je pense que tous rêves, ont une explication valable, une raison de se présenter à nous. Une crainte, une joie, un désir... Tous ces qualificatifs, peuvent être représentés dans les rêves. Mais tout ça n'est qu'une opinion. Un jour ce cauchemar, s'envolera, il s'envolera aussi vite qu'il est arrivé, et je ne saurais jamais pourquoi j'ai rêvé de cette jolie jeune femme...
[…]
Son odeur était reconnaissable entre mille, ses yeux, ses mains, ses lèvres, ce regard... Tout était absolument identique, jusqu'à la moindre mèche de cheveux dorés. Tout. Les moindres parcelles de sa peau, ses vêtements, ce sourire. Elle ressemblait à s'y méprendre, à cette jeune femme, dans mon rêve. Cela faisait maintenant quelques semaines, que ce cauchemar avait cessé, après toutes ces questions. C'est vrai, il avait cessé... Et pourtant, elle lui ressemblait tellement. Non, c'était elle. Je ne pouvais, détourner mon regard, de ce visage, si magnifique. J'étais comme porté, je ne contrôlais plus rien, je savais que j'étais d'une impolitesse rare, de la fixer, comme je le faisais, mais elle me fascinait, comment cela pouvait-il se produire ? Alors, je laissai échapper son prénom, dans un murmure à peine audible. Au milieu de cette foule. Une foule si bruyante, qu'il était impossible de m'entendre. Pourtant, elle, le fit, elle entendit, son prénom être prononcé par mes lèvres, et se retourna, pour me sourire, mais pas que... Elle se retourna, me souri, et... Me parla.
[…]
Sa nuque était si douce, et si chaude. Mes lèvres caressaient sa nuque, et mes doigts se baladaient librement sur ses bras. Kelly était assise en tailleur, contre mon torse, tête baissée. Elle lisait. Nous étions, tous deux assis, contre un mur de pierre, sur le sable maintenu frais par l'ombre du mur. Elle lisait, et je ne pouvais cesser de la contempler. Je l'aimais, comme on peut aimer à cet âge, avec toute l'insouciance de l'adolescence. Je n'étais tout de même pas si insouciant, pour mes 17 ans, j'avais déjà de grands projets, je voulais me marier, et fonder une famille, déjà. J'attendais juste qu'elle soit prête... La jeune femme qui était l'objet de mes cauchemars, il y a encore quelques mois de cela, se leva, et alla courir en direction du soleil couchant, droit sur l'horizon, droit vers la mer. Avant de s'arrêter à quelques centimètres de l'eau fraîche de cette fin de printemps. Puis releva un pan de sa jupe, pour tremper ses pieds, dans le liquide limpide. Je la regardais de loin, avec cette désagréable impression de déjà vu. Comme si mon rêve se répétait, elle était tournée vers moi, et je reconnu alors ce regard que je n'avais plus vu depuis notre rencontre, celui remplit de désespoir, et de peine...
Et son nom s'échappa de mes lèvres, pour qu'elle vienne à moi.
-Kelly !
Mes jambes, se levèrent et je me précipitais déjà vers elle, les larmes aux yeux, et ces mots qui résonnèrent comme une supplication.
-Kelly, si quelque chose allait mal, tu m'en parlerais n'est-ce pas ?
Un « bien sûr » étranglé, sortit de la bouche de la jeune fille, avant qu'elle écrase ses lèvres contre les miennes...
Je reçu une décharge électrique dans tout le corps, et je compris que ce baiser serait le dernier, que c'était sa façon de me dire au revoir, et d'avouer ce qu'alors, elle n'avait jamais prononcé de vive voix, jusqu'alors... Qu'elle m'aimait...
Et mes larmes, se mêlèrent aux siennes...
[…]
L'une des dernières choses dont je me rappelle, était bien les sanglots de ma mère. Aussi déchirant que des coups de poignards. Elle m'implorait de rester. Mais c'était au-dessus de mes forces. Je jetais mes vêtements par-dessus ma tête, ne sachant où ils atterrissaient. A cet instant, plus aucune chose m'importait. Je voulais juste partir, partir loin d'ici, pour moins souffrir. Je savais que mes parents comprenaient mon geste, je leur avais fait par de mes souhait envers Kelly. Alors il savait à quel point je ne supportais plus l'être que j'étais, à ce moment précis. Ils comprenaient. Et moi je continuais à entasser mes affaires, avec hargne, dans cette malle. Je voulais rejoindre l'hexagone, trouver un endroit où je pourrais faire le point, où je pourrais...
Écrire, pour m'apaiser. Et ma mère hurlait, pour me supplier de rester, mais je parti, sans me retourner, sans dire un mot, ou presque. Je savais qu'une rupture brutal, ferait moins mal.
Je leur dis à quel point je les aimés, et claqua la porte.
Même dehors, j'entendais ma mère pleurait. Alors je pris la décision, de ne m'arrêter, qu'une fois que je ne l'entendrais plus...
Mais ses pleurent résonnaient dans ma tête.
[…]
Et puis il y a les autres... Tous ces gens merveilleux rencontrés à la fée verte. Des gens de passage, des amis, des muses... Parfois plus... Tous ces gens qui me permettent d'écrire. Tous ces gens qui me permettent d'avancer. Tous ces gens à qui je dis merci. Car grâce à eux je revis, un peu... Grâce à eux, je vis de cette passion. Et qui sait, un jour peut-être, je n'aurais plus mal. Un jour peut-être, je retrouverais les miens, en Angleterre. Un jour surement, je serais redevenu, Ambroise, juste Ambroise. Je n'aurais plus mal, je serais heureux, et j'aurais une famille. Un jour je sais je retrouverais cette quiétude, d'autres fois. Même si cela doit prendre du temps, je sais que j'arriverais à me reconstruire. A être simplement serein.


    Troisième verre d’absinthe.
    Tout est tellement … fantastique !



- Après la pluie, il y a toujours le soleil, et mon humeur réagit pareil. Je suis aussi changeant que les hallucinations dues à notre chère amie, la fée verte. Je ne grogne pas, j'attaque. Je suis comme ça, mon morale, est en perpétuel mouvement, même s'il est plutôt bas, ces derniers temps, mais qu'importe, mes textes ne se sont jamais aussi bien tenus, eux...
- Parfois il faut savoir être tolérant, pour qu'un jour justice soit faite. J'ai toujours crus, que celui qui avait écrit cette citation, était un idiot, je ne trouvais alors aucun intérêt à cette phrase. Et un jour j'ai réalisé, que peut-être cet homme n'avait pas tort. Parce que je suis tolérant, envers les autres, et généreux, la roue à tournée, et le ciel s'est éclairci. Mais j'ai peur qu'il s'assombrisse de nouveau...
- Mais qui a dit que l'absinthe était mauvaise pour la santé ? Un verre, puis deux, puis enfin 5. Le nombre monte vite, tel mon désespoir, noyé dans cette boisson verte. Et puis ces mots, qui sortent, seuls, sans que je les cherchent, et le public aime ça. Parfois l'homme à besoin d'une source d'inspiration, d'une muse. La mienne c'est la fée verte
- Et mon coeur papillonne, et mon coeur s'envole, pour toucher ses lèvres. J'ai toujours été quelqu'un de sensible et de passionné, ce qui explique, les nombreux tourments, de ma si jeune vie, peut-être que je m'en fais pour rien, peut-être que ma souffrance et uniquement dû à mon imagination débordante, je pense peut-être que le monde tourne autour de mon si petit nombril, et que je suis la personne la plus malheureuse du monde. Le problème étant que j'ai toujours été sensible, et romantique, et autant vous dire, que cela n'a rien à voir, avec un quelconque syndrome de narcissisme..
- Et le ciel est bleu, comme ses yeux. Lorsque j’aime, je n’aime pas à moitié. Je déteste faire souffrir ceux que j’aime, et encore moins la personne que j’aime. J’aime à en mourir, et j’irais bien jusqu’aux enfers, pour elle. Comme je le disais un peu plutôt, je suis romantique, ceci explique surement cela. Certaine personne, trouve que j’en fais trop, que je suis idiot, d’aimer comme j’aime, mais ils peuvent bien dire, qu’importe…


    Quatrième verre d’absinthe.
    Je vois des feux d'artifice partout.


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    Cinquième verre d’absinthe.
    La fée m'a transformé(e).

Bon alors après ce cinquième verre d'absinthe, j'ai bien peur de ne raconter, que des ignominies, et si finalement j'arrive à me tenir à carreau, ce ne sera qu'un coup de chance, dû à mon désespoir, mais dans ce cas, je ne tiendrais que des propos hors-sujets, et parlerais de ma ville préférée, Sydney, ou bien de mes chaussettes bariolées, dont je n'ai pas le droit de parler. Je crois donc, que je vais me taire, et vous laisser apprécier mes textes...


Dernière édition par Ambroise Stanwick le Dim 5 Avr - 20:58, édité 21 fois
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MessageSujet: Re: La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick   La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick EmptyDim 29 Mar - 21:10

Bienvenu ;)
Ambroise, c'est pas un prénom féminin ?
Je crois que j'aurais toujours du mal avec les prénoms qui changent de sexe comme ça pour rien... Lol.
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Ambroise Stanwick
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MessageSujet: Re: La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick   La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick EmptyDim 29 Mar - 21:13

Heu... J'ai pensé la même chose au début, mais je te confirme, c'est un prénom masculin ^^
Merci de me souhaiter la bienvenue ! La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick 343193
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MessageSujet: Re: La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick   La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick EmptyDim 29 Mar - 21:18

Bienvenue =)
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MessageSujet: Re: La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick   La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick EmptyDim 29 Mar - 21:21

    Welcome et bon courage La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick 176943
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Valentina Luiz
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MessageSujet: Re: La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick   La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick EmptyLun 30 Mar - 20:25

Bienvenue !
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MessageSujet: Re: La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick   La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick EmptyLun 30 Mar - 20:31

Très beau prénom, je trouve La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick 773299
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche !
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Ambroise Stanwick
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MessageSujet: Re: La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick   La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick EmptyDim 5 Avr - 21:01

Merci pour cette accueille chaleureuse La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick 343193
J'ai enfin fini ma fiche, voici mon magnifique pavé tada !
Bon j'arrête de flooder...
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MessageSujet: Re: La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick   La vie ne mérite pas d'être vécue, si l'amour ne frappe pas à ta porte: Ambroise Stanwick EmptyDim 5 Avr - 21:54

Bon, hé bien, Sydney Ambroise tu es validé(e) ! Laughing
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